Une famille à l’étroit dans sa maison fait appel à Viveo pour agrandir par le haut. L’étage est dédié aux enfants. Au rez-de-chaussée de
l’espace est libéré pour les adultes.
La maison de Stéphanie et Arnaud avant la surélévation.
En 2010, Stéphanie et Arnaud achètent une maison dans le Gers, à Lombez. De type F4 la villa de plain-pied compte 110 m² de surface habitable. Trois enfants plus tard, en 2017, la famille est à l’étroit. Plutôt que déménager pour plus grand, ils préfèrent agrandir l’existant et ne pas quitter le quartier auquel ils sont attachés. Le couple opte pour une surélévation pour ne pas grignoter le jardin. Leur projet : créer pour les enfants à l’étage 3 chambres et une salle de bains, et en profiter pour transformer les chambres d’enfants du rez-de-chaussée en bureau et chambre d’amis.
Après prospection, le couple confie son projet à Viveo, spécialiste de la surélévation en bois.
« Les témoignages sur Viveo étaient rassurants, se souvient Stéphanie. Tout comme les garanties qu’apportait cette entreprise. » Créée dans les années 1980, leader de la surélévation sur la façade est du pays. Viveo est également implanté à Bordeaux, Nantes et récemment à Toulouse. Cette société est une filiale du groupe Minot, entreprise familiale française, née en 1914, spécialisée dans la construction de charpentes en bois. « Que la construction soit en bois, ajoute la Lombézienne, nous soulageait car elle pèse moins sur les fondations de la maison qu’une construction maçonnée et évite la reprise des murs porteurs. »
Le couple entre en contact avec Viveo en octobre 2017.
« Côté budget, explique Dominique Dubourg de l’agence de Haute-Garonne de Viveo, comptez entre 1300 et 2300 euros du m² pour la surélévation d’un pavillon en charpente fermette. Le prix au m² dépend de la surface : plus c’est grand, moins c’est cher au m². En effet, le coût de l’escalier, du grutage… pèse moins à mesure que la surface augmente. La surélévation de Stéphanie et Arnaud leur est revenue à 1740 euros du m² prête à décorer. Bricoleurs, il leur restait à faire les peintures, poser les sols et les sanitaires. » Selon madame : « Viveo était dans la fourchette des prix des entreprises consultées ».
Le devis est signé en janvier 2018. Après les deux mois d’instruction du permis de construire, puis les 2 mois de recours des tiers, et enfin l’obtention du prêt bancaire, le chantier démarre début juillet 2018. « Il faut compter 6 mois de délai entre la commande et le début des travaux », précise Dominique Dubourg.
Le chantier s’étend sur 10 semaines.
Le chantier se déroule en situation habitée. Qu’importe, la trémie de l’escalier n’est percée qu’à la fin. Les ouvriers accèdent à la surélévation par l’extérieur. Les propriétaires n’ont jamais été dérangés. Pendant toute la durée du chantier, la maman s’occupait de ses trois enfants : « C’était les grandes vacances, pas le camping. Les artisans ont été très respectueux, du début à la fin du chantier ».
« Chez Viveo, nous mettons un point d’honneur à ce que le client trouve toujours quelqu’un pour répondre à ses questions : le conducteur des travaux, le technico-commercial… Dès qu’ils ont une question, ils doivent obtenir une réponse », assure Dominique Dubourg.
1. Tout commence avec les raccords électriques, le passage des gaines et la mise de côté des tuiles de l’existant.
2. Ensuite, le plancher de la surélévation est monté : des solives relient deux poutres en lamellé-collé. Ces dernières reçoivent une isolation périphérique de 200 mm de laine de verre pour éviter les ponts thermiques. Le plancher est isolé de 100 mm de laine de verre pour un confort thermique et acoustique. Avant de fermer le plancher, le plombier passe ses remontées d’eau et évacuations. Côté rez-de-chaussée ces modifications sont évidemment invisibles. Tout se passe au-dessus du plafond du rez-de-chaussée. En appui sur les murs extérieurs, le bas des fermettes qui soutiennent le plafond du rez-de-chaussée sont fixées aux nouvelles solives.
3. Ensuite, en une journée, les murs, préalablement assemblés dans les ateliers de Marmande de l’entreprise, sont montés. Face intérieure, ils sont isolés avec 145 mm de laine de verre recouverts d’un pare vapeur. Les menuiseries PVC à double vitrage et les volets roulants sont déjà intégrés. Face extérieure, les panneaux bois sont jointés et recouverts d’un primaire d’accrochage qui recevra l’enduit à base de résines polymères de finition.
4. Le même jour que la livraison des murs, la charpente et le film pare-pluie sont posés. Ainsi, à la fin de la journée, le chantier est hors d’eau hors d’air. Les tuiles déposées de l’existant vont couvrir la surélévation, complétées d’un petit nombre.
5. À partir du lendemain, le plaquiste et l’électricien interviennent. Une fois les cloisons isolées, plaquées, jointées, poncées… l’électricité terminée, la trémie de l’escalier est enfin ouverte puis plaquée. Les mesures de l’escalier sont prises à ce moment-là seulement. Un délai de 3 à 5 semaines est nécessaire à sa fabrication sur-mesure. Sa pose ne prendra qu’une journée. Le chantier aura duré 10 semaines.
6. La maison terminée côté rue.
« À l’achat, nous avions une maquette en 3D, explique Arnaud Bauchet, c’était très séduisant. Deux mois après, le projet est terminé, fidèle à ce que nous avons acheté. Le contact que nous avons eu avec tous les artisans était presque familial, jamais familier, toujours respectueux. » Le projet a été livré prêt à décorer. Sans attendre, le couple a posé un parquet en lames de PVC cliquables et réalisé les peintures. « Les joints de placo étaient très propres et ont nécessité peu de rebouchage. » La salle de bains est terminée également. Objectif « à Toussaint, les enfants à l’étage » réussi !
7. Le jour de la réception du chantier, les propriétaires sont entourés de Dominique Dubourg de l’agence de Haute-Garonne de Viveo (à gauche) et Michel Florent le conducteur de travaux (à droite).
